l'Actualité du Solaire

A l’UE PVSEC, une nouvelle association ESMC est lancée. Elle regroupe les fabricants de panneaux et les instituts de recherche, car les efforts de R & D ne servent à rien s'il n'y a pas d'industriels pour les mettre en œuvre. Chacun a affirmé la nécessité de disposer de lignes de production d'un gigawatt en Europe. Les initiateurs de cette association souhaitent pouvoir se faire entendre des milieux politiques. Elle remplace Prosun qui était soutenue par Solarworld.

PV Magazine du 25 septembre

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L'association « European Solar Manufacturing Council » (ESMC) dont l'annonce de la création été faite à EU PVSEC, a pour intention de représenter toutes les parties du secteur.

PV Tech rapporte que 30 entreprises et institutions étaient déjà présentes avant l’annonce de cette semaine, composée des principaux fabricants de PV, de fournisseurs d’équipements et de diverses institutions, tandis que d’autres devraient suivre au cours des prochaines semaines.

Le directeur de Fraunhofer ISE, l’un des fondateurs de l’ESMC, a déclaré que l’industrie européenne comptait de nombreuses petites entreprises et que beaucoup d'entre elles ont demandé à une organisation de les soutenir. Il ajoute « Nous voulons nous concentrer sur la fabrication car nous pensons que c’est un point stratégique pour l’Europe où la fabrication sera disponible dans l’avenir, car le marché se développera.

Un représentant de Total a estimé qu'il était important que la communauté de la production solaire et de la R & D fasse entendre sa voix en Europe.

PV Tech du 25 septembre

NDLR Il a fallu la disparition de Solarworld pour qu’une prise de conscience européenne émerge. L’accent mis sur la collaboration entre industriels et centres de recherche est judicieux. Seulement, l’industrie européenne a quasiment disparu. Il faut recréer une ou des sociétés ayant un ou plusieurs gigawatts de capacité de production. Il faut recréer des réseaux de distribution pour diffuser ces productions. Il faut recréer une notoriété. Il faut surtout que la concurrence chinoise ou asiatique ne soit pas trop forte afin de laisser le temps d’asseoir progressivement la position des fabricants. La tâche est immense et ce n’est pas avec des frontières ouvertes après la suppression du prix minimum à l’importation qu’on y parviendra…

L’initiative est excellente. « Il reste à » traduire les intentions dans les faits. Pour le moment, l’émergence de sociétés de grande taille en Europe est difficile à envisager… Mais qui n’essaie rien, n’a rien…

Finergreen a présenté les résultats de l'appel d'offres sur bâtiments pour une taille de 0,1 à 8 MW. Il s'agit de la tranche 5 et d'où la dénomination de CRE 4.5. 231 MWc ont été attribués en deux familles (moins ou plus de 0,5 MWc). 392 projets ont été retenus, avec un prix moyen de 0,0768 € le kWh

Dans une interview réalisée par Tecsol, le responsable commercial de LONGi précise que la suppression du prix minimum en Europe lui permet de diminuer de 10 à 15 % le prix des produits les plus distribués. Il affirme que la technologie du monocristallin constituera la majeure partie du marché dans un avenir très proche. Le prix actuel du polycristallin, très faible, ne devrait pas persister car il provient des invendus en Chine.

Greenpeace a publié son classement des fournisseurs d’électricité verte en France. Il a mis un zéro pointé aux géants du secteur EDF, Engie, Total, Direct Energie

Cap Vert Energie lance RespeeR, son offre de vente directe d’énergie verte, destinée aux entreprises et collectivités. Elles pourront acheter de l'électricité verte à un tarif stable et compétitif dans la durée.

À l’EU PVSEC à Bruxelles cette semaine, des représentants éminents de l’industrie solaire ont lancé un appel en faveur de la reconstruction d’une chaîne de production européenne majeure tout au long de la chaîne de valeur. Ils ont appelé la Commission Européenne et les États membres à introduire des écolabels et des critères de recyclage pour les panneaux solaires afin de stimuler l'expansion du PV, et à aligner la politique de recherche sur la relance de l'industrie solaire. Quatre points ont été soulignés :

Le marché européen des systèmes résidentiels de stockage est le plus important dans le monde, selon la société allemande de conseil et d'études de marché, Macrom : le nombre de systèmes vendus en Europe aurait triplé au cours des deux dernières années. Au sein de l'Europe, l'Allemagne est le marché le plus important, avec des fabricants nationaux puissants qui dominent le marché. En revanche, la croissance des ventes des fabricants asiatiques est remarquable. C'est surtout le cas en Grande Bretagne où les clients sont surtout sensibles aux prix alors que les appareils allemands sont plus chers : 80 % du marché britannique est détenu par des fournisseurs asiatiques. Le marché allemand est le plus dynamique avec 100.000 installations réalisées, et où 65 % du marché est détenu par des fabricants locaux.

Les nouveaux droits de douane américains appliqués aux onduleurs chinois ne risquent pas de poser de gros problèmes d’approvisionnement, ni d’avoir des conséquences graves pour les fabricants chinois. Ces droits sont de 10 % depuis le 24 septembre, puis de 25 % en 2019.

Wood Mackenzie (ex-GTM) considère que l'impact sera modeste. Il n'y aura pas de pénurie mais des hausses de prix, ce qui rendra un peu plus difficile l'établissement des prix par les importateurs. « Avec un tarif de 25 %, l’impact de la tarification sur les importations chinoises se situera entre 0,01 et 0,03 $ / W-ac en fonction du type de produit. Le prix d'un onduleur en tant que part du système global varie de 3 % à 8 % des dépenses en capital », estime Wood Mackenzie. Il a noté que 4 % des onduleurs centraux importés aux États-Unis provenaient de Chine en 2017 et 70 % des importations d'onduleurs résidentiels.

Pour les fabricants chinois, l’effet des 10 % est compensé par le taux de change actuel. Lorsque les taux passeront à 25 %, les chinois chercheront des fabricants hors de Chine. D'autres fabricants estiment que la qualité et la performance des produits chinois compenseront les coûts supplémentaires des droits de douane.

PV Tech du 20 septembre

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    *   Sunpreme produit des panneaux et bientôt des cellules aux Etats Unis

Le fabricant californien de panneaux Sunpreme prévoit d’ouvrir une usine de production de cellules au Texas en 2019. Une première tranche de 136 MW sera mise en exploitation début 2019. Une seconde tranche de 260 MW sera mise en service ultérieurement. Les raisons de son choix proviennent de la subvention SunShot 2016 pour développer la métallisation du cuivre qui permet d'avoir une production rentable et d’éviter les tarifs douaniers

La Chine est en train de construire 259 GW de centrales à charbon, soit l'équivalent de l'ensemble de la capacité de centrales à charbon des Etats-Unis (266 GW), selon les images satellites étudiées par Coalswarm. Ceci représente une augmentation de 25 % de la capacité de production d'électricité en Chine qui est estimée à 993 GW.

En Allemagne, l’étude d'EuPD Research constate que seuls 9 % des nouvelles constructions au cours de la période 2016-mi 2018 avaient un système solaire de moins de 10 kWc.

Le gouvernement espagnol a présenté une nouvelle série de mesures visant à enrayer la hausse des prix de l’électricité, notamment des mesures visant à soutenir l’énergie solaire et les autres sources d’énergies renouvelables. Il prévoit également de fixer un calendrier pour les prochaines enchères, d’éliminer les frais d'autoconsommation en annulant la taxe solaire, de promouvoir les projets solaires communautaires pour l'autoconsommation, de simplifier les procédures bureaucratiques pour l'installation et la connexion au réseau de générateurs d'énergie renouvelable, et d’améliorer les tarifs pour le secteur agricole en supprimant les redevances pour l'autoconsommation.

Au Royaume Uni, les installations d'énergies renouvelables ont fourni 31,7 % de l’électricité britannique au cours du second trimestre. Elles ont augmenté de 3 % sur l'an dernier, alors que la capacité installée a augmenté de 10 % à 42 GW.

Au Portugal, 81 nouvelles centrales solaires au sol, d'une capacité combinée de 1,7 GW, ont été soumises pour étude à la Direction générale de l'énergie et de la géologie (DGEG) du 1^er septembre au 15 septembre. Ces projets ne seront pas subventionnés.

Au Mexique, l'italien Enel vient d'achever la construction de la centrale PV (appelée Villanueva) de 828 MW, ainsi que la tranche de la centrale solaire Don José qui atteint 260 MW. Ainsi, 1.089 MW ont été raccordés le même jour. Le coût de la construction atteint 950 M$. C'est la plus grande centrale PV d'Amérique du Nord.

En octobre, IKEA testera la vente de systèmes solaires dans cinq de ses magasins allemands. Deux modèles seront proposés : un système complet de 2,2 kW au prix minimum de 4.730 € TTC (panneaux multicristallins Canadian Solar et onduleurs SolaX) et une offre à partir de 5.075 € TTC (panneaux monocristallins JA Solar et onduleurs SolarX).

Lors de la conférence UE PVSEC tenue cette semaine à Bruxelles, il a été affirmé que la technologie solaire nPERT (émetteur passif et arrière totalement diffus de type N) présente de gros avantages par rapport à la technologie PERC de type P, car il n'y a pas de dégradation induite par la lumière, qu’il y a davantage de stabilité et d'efficacité, et que les fabricants peuvent utiliser l'équipement existant pour produire cette cellule de type N, sans gros investissement d'adaptation.

Des chercheurs d'une université d'Arabie Saoudite et de l'université américaine du Wisconsin-Madison ont créé ce qu'ils appellent « une batterie à flux solaire ». Il s'agit d'une combinaison d'une cellule solaire et d'un système de stockage. Le dispositif peut agir comme (i) comme une cellule solaire standard, qui produit de l'électricité à partir du rayonnement solaire; (ii) absorber l'énergie solaire pendant les heures de clarté et la stocker sous forme d’énergie chimique pour la fournir ultérieurement en électricité, lorsque la nuit tombe ou que le ciel devient nuageux; et (iii) être un dispositif de stockage qui peut être chargé par de l'énergie électrique si nécessaire.

Lors d'une table ronde tenue lors du forum Taïwan Energy 2018, les fabricants de cellules admettent qu'une perte de 3,5 % provient de la dégradation induite par la lumière ou par les opérateurs. Il semble qu'il ne soit pas possible (pour le moment) de réduire cette perte.

SMA commence à livrer aux Etats Unis, une solution électronique qui assure un arrêt rapide de l'énergie au niveau des panneaux, le TS4-R-F (Fire Safety). Cet équipement sera obligatoire sur les panneaux à compter du 1^er janvier 2019.

Photon du 28 septembre

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La baisse des prix et les retombées de la politique PV chinoise obligent SMA à abaisser ses prévisions pour 2018 : les prévisions de chiffre d'affaires pour l'exercice qui étaient établies entre 900 à 1.000 M€, sont ramenées entre

800 M€ et 850 M€ (891 M€ en 2017). Ceci aura un effet sur la rentabilité de l'EBE (EBITDA) qui était prévu bénéficiaire de 90 à 100 M€, sera au mieux équilibré ou plus sûrement en perte.

Ces révisions en baisse proviennent des comptes semestriels : le groupe a vendu 4,3 GW (+ 12 %) alors que le chiffre d'affaires n'augmente que de 3,5 % à 395 M€. La marge d'EBE est de 10,4 % (7,7 % l'an dernier). Le bénéfice net atteint 11 M€ soit 2,8 % de marge.

 Cette révision en baisse provient « d'une forte baisse des prix sur tous les marchés et segments ». La direction mise sur l'innovation de produits dans les trimestres à venir pour « contrer la pression croissante sur les prix des composants ». L'expertise dans le domaine de la gestion de l'énergie et de l'intégration de systèmes de stockage de batteries contribue de manière décisive à la pénétration à long terme des activités de systèmes et de services à plus forte marge. »

 La direction est confiante pour le retour à une rentabilité en 2019

PV Magazine du 27 septembre

NDLR  La direction n'évoque par les variations monétaires. Or, la dépréciation du dollar au cours des derniers trimestres érode la rentabilité de ses fabrications européennes.

La direction met l'accent sur la sortie de nouveaux produits, mais ceux-ci ne permettent pas de créer une différence qualitative avec les concurrents qui eux misent sur la quantité et sur un taux de recherche et développement bien supérieur à celui de SMA. Dès lors, la société voit ses parts de marché diminuer constamment depuis plusieurs années. En effet, qui peut croire que le marché PV mondial du 1^er semestre n'aurait progressé que de 3 %, alors que les producteurs chinois de la filière ont augmenté leurs fabrications photovoltaïques de 25 à 35 % au cours du premier semestre !
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Michael Liebreich présente les mutations à venir du transport dans le proche futur, lorsque le moteur à explosion sera abandonné au profit d'un moteur électrique

Les véhicules électriques : début 2016, il y avait moins d’un million de véhicules électriques sur les routes dans le monde. Il y en a maintenant quatre millions. Le 5^ème million sera commercialisé au cours du prochain semestre. Certaines villes interdisent à terme les véhicules à combustibles fossiles. Les constructeurs lancent de plus en plus de modèles de véhicules électriques. L'AIE qui prévoyait seulement 23 millions de VE sur les routes en 2030, a quintuplé sa prévision à 127 millions.

Les autobus électriques se développent bien plus vite. Il y a 0,4 million actuellement contre zéro il y a deux ans. 99 % sont en Chine. D'ici 2030, 84 % des autobus seront électriques.

Depuis deux ans, il y a l'électrification des camionnettes. Ne trouvant rien sur le marché, DHL Deutsche Post a conçu son propre véhicule et le vend désormais à des tiers. Renault-Nissan ont pris une longueur d'avance sur ce marché, mais les autres constructeurs essaient de rattraper leur retard.

Les camions vont devenir électriques car le choix d'achat se situe sur le coût total de détention. Tesla avait présenté en juillet 2016 un camion semi-remorque de classe 8 ayant une autonomie de 500 miles et a obtenu déjà 2.000 précommandes. Cet été, Daimler a présenté un semi-remorque de classe 8 avec une autonomie initiale de 250 miles (250 x 1,6 km), après son camion électrique de 7,5 tonnes présenté en début 2018 et déjà livré à différents utilisateurs. Le constructeur travaille sur un véhicule de 27 tonnes pour des livraisons sur courte distance. D'autres constructeurs suivent ce mouvement

Les navires : de très nombreux bateaux ne naviguent que sur de courtes distances : ferries, remorqueurs, navires de service, navires fluviaux ou bateaux de loisirs. De nombreux constructeurs proposent des batteries adaptées (RollsRoyce, Leclanché, Corvus Energy, Norsepower, ...). Le développement de ce type de propulsion s'appuie sur les économies qui sont réalisées.

Les taxis volants : l'aviation est un secteur plus difficile. Il y a déjà des véhicules à décollage vertical (le VTOL) encore connus sous le nom de taxis volants. 43 sociétés expérimentent de tels avions, assez puissants pour emporter une ou deux personnes. La typologie de ces avions sera sans pilote, mais il faudra résoudre l'environnement réglementaire afin d'assurer la sécurité tant des avions que les installations au sol. Il faudra probablement attendre les années 2030 avant de voir de tels avions s'imposer.

Uber a calculé que si un hélicoptère coûtait 8,93 dollars par passager et par mile, un VTOL électrique sans pilote ne coûterait que 1,84 dollar, soit un cinquième de ce montant, chutant peut-être à 0,44 dollar avec des économies d'échelle dans la fabrication et le déploiement.

A long terme : Dix compagnies travaillent sur des avions électriques longue distance. Pour le moment, les batteries au lithium-ion ne représentent que 2 % de la densité énergétique du carburéacteur, de sorte que ceci ne permet pas de traverser l'Atlantique dans des avions alimentés par batterie, encore moins le Pacifique. Pourtant, les moteurs à réaction ne sont efficaces qu’à 30 %, alors que l’efficacité du cycle de la batterie est supérieure à 90%, ce qui rend l’objectif plus facile. En outre, une variété de batteries à l'état solide lithium-métal est sur le point d'être commercialisée, ce qui offre une amélioration de la densité énergétique par rapport au lithium-ion de deux ou trois fois au cours de la prochaine décennie. Ce gain permet de franchir 200 ou 300 miles.

 En 2017, la compagnie aérienne Easyjet a passé un partenariat pour construire un avion électrique équivalent à une Airbus A 320 d'ici dix ans. Une autonomie de 300 miles suffirait à desservir 20 % du réseau européen de la compagnie. Ceci serait un début. Des avions à quatre places pourraient avoir une autonomie de 200 miles et une vitesse de 200 miles par heure soit Paris-Londres en une heure.

Des avions hybrides permettraient de franchir de plus longues distances ou transportant davantage de passagers. Une turbine à gaz aiderait au décollage, puis s'interromprait durant le vol.

L'avion électrique serait moins bruyant, nécessite des pistes bien plus courtes, et grimpe plus rapidement.

L'hydrogène : son intérêt pourrait être découvert pour les longues distances telles que le transport ferroviaire. Alstom fournira 14 trains à piles à combustible à hydrogène. Les trains pourraient aussi fonctionner avec du gaz naturel comprimé comme cela se fait en Inde, ou alors sans électrifier toute une ligne, le train transporte une batterie qui se recharge périodiquement en cours de route. Ceci pourrait être moins coûteux que le recours à l'hydrogène

Que faut-il en penser ? L'électrification permettrait de limiter l'impact du changement climatique. L'ensemble des transports représente 14 % des émissions mondiales. Ce taux pourrait baisser rapidement. De plus, l'électricité à bon marché diminuerait les coûts

Des pôles d'énergies réinventés : jusqu'à présent, on considère que les recharges doivent être placées près des utilisateurs comme les stations-services. Ceci conduit à des goulots d'étranglement et à des coûts d'approvisionnement majorés. Pour de nombreux utilisateurs d'électricité, il pourrait être judicieux de se connecter directement au réseau de transport d'énergie : les aéroports, les ports, les gares, les centres logistiques et autres pourraient devenir des centres énergétiques offrant des tarifs abordables, des batteries pour une demande fluide et des services auxiliaires de réseau, une puissance résiliente pour les fermes de serveurs, etc... et les maisons.

Dans le passé, les centres d'approvisionnement en énergie ont varié selon les technologies et les époques. L'électrification entrainera une nouvelle géographie centrée sur le transport et la logistique de plateforme d'énergie. Le réseau électrique britannique y songe avec sa perspective de réaliser 45 concentrateurs de recharge du Royaume Uni pour les véhicules électriques.

Surtout, aucune liste des conséquences de la mutation des transports ne peut être établie tant les changements seront nombreux et surtout imprévisibles. « Aucune partie de l'économie mondiale ne sera épargnée par la généralisation de l'électrification. »

GreenTech Media du 27 septembre