L R AS Publié le lundi 3 octobre 2022 - n° 418 - Catégories : pays européens

Etude sur l'intérêt de la flexibilité de la consommation en Europe

Selon DNV, les consommateurs européens pourraient économiser 71 milliards d’€ en 2030 grâce à la flexibilité de leur consommation. Parmi les résultats présentés,

il est notamment expliqué que dans l’hypothèse de la pleine activation de la flexibilité des bâtiments, des véhicules électriques et de l’industrie, la situation en 2030 serait la suivante :

    37,5 millions de tonnes d’émissions de gaz à effet de serre économisées ;

    11,1 à 29,1 milliards d’euros économisés en investissements dans le réseau de distribution ;

    71 milliards d’euros seraient directement économisés par les consommateurs ;

    15,5 TWh (61%) correspondraient à la réduction des énergies renouvelables évitée.

    2,7 milliards d’euros supplémentaires pourraient être injectés sur la capacité de production de pointe.

http://www.plein-soleil.info/actualites/les-consommateurs-europeens-pourraient-economiser-71-milliards-de-en-2030-grace-a-la-flexibilite-de-leur-consommation/

Plein Soleil du 30 septembre

 

NDLR   Présenter un résultat sans préciser comment il est obtenu, crée un doute sur sa fiabilité. Certes DNV est un organisme sérieux, mais comme l'étude est commandée par un organisme qui veut s'appuyer sur ce document pour obtenir un objectif, il est suspect.

Plus sérieusement, s’il y a 500 millions d’européens, l’étude parviendrait à réduire de 142 euros par an et par habitant grâce à la flexibilité de la consommation. Est-ce que l’idée mérite qu’on s’y attarde ?

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